Du 28 juin au 7 septembre. Pour les quarante ans de la cité de l’abeille, nous vous proposons « ABEILLES DU MONDE »
4 expositions en intérieur et en extérieur, petits et grands formats allant jusqu’à 100cm x 150cm. Des abeilles migratrices géantes de l’Himalaya aux abeilles cubaines, des abeilles de Bornéo aux abeilles indiennes, en passant par les abeilles africaines, européennes et les abeilles solitaires, vous pourrez admirer tout un « florilège de butineuses internationales ». 160 photographies
VERNISSAGE SAMEDI 28 JUIN 2025, 17H : INAUGURATION DES EXPOSITIONS
19h : Soupe paysanne + dessert > 6€. Cuisinée par Yuki et Antoine (Ferme Kinoko).
20h30 : Double soirée > 13€
« Nervno fils de plume » Jeune artiste haïtien aux multiples talents, slameur, poète, musicien et écrivain, à découvrir.
« Helix Nebula ou l’œil de Dieu » (Autour d’un feu de camp). Pièce de théâtre de Roger Lombardot, auteur et dramaturge, en avant-première mondiale, avec Florence Banos, comédienne et Manuel Lombardot, régisseur et metteur en scène.
L’œil de Dieu est le surnom donné par les scientifiques à la nébuleuse de l’Hélice. C’est aussi le titre du dernier volet de la trilogie sur les peintures de la grotte Chauvet-Pont-d’Arc (datées de 35 000 ans, ces peintures sont les plus anciennes connues au monde, à ce jour). L’œil de Dieu fait suite à La Rose (2003) et à Homo Botticelli (2013).
L’argument : Une intelligence artificielle humanoïde retrace le parcours de l’humanité depuis son apparition et nous met au défi d’inventer un avenir à la hauteur du génie visionnaire des premiers artistes.
(Si mauvais temps repli sous les préau des abeilles).
DIMANCHE 29 JUIN, 9h : Balade-musique-lecture d’abeilles de 5 km en boucle, au départ de la casa dard d’art Avec l’Atelier de Vives Voix (Florence Di Valentin, Nathalie Baudry, Paule Mas, Arlette Boutoille, Jean-Paul Bouvet) et la violoniste Aurélie Chenille.
13h : Repas partagé sous le préau des abeilles


ÉRIC TOURNERET, « les abeilles au naturel, de la chasse au miel à l’apiculture ». Ce périple au cœur du monde des abeilles nous convie à l’exploration de la diversité fascinante des abeilles mellifères et de l’ingéniosité humaine qui, depuis des temps immémoriaux, s’efforce de récolter le précieux nectar. Des abeilles géantes d’Asie, qui migrent chaque année en suivant les floraisons, aux abeilles sans dard des terres tropicales, et à notre abeille commune enruchée depuis des millénaires, cette exposition nous transporte dans l’ingéniosité des hommes et des abeilles de par le monde.

STÉPHANE HETTE, « Ukiyo’e le bonheur de la contemplation ». Au bord d’un étang à quelques kilomètres
de chez moi, le long de la rivière Mara au Kenya ou au fond de mon jardin le plaisir de la contemplation demeure semblable. Observer, attendre de voir l’eau et les frêles brindilles des rives prendre vie. Figer l’instant en une éternité. Fasciné par la beauté du vivant je n’ai de cesse de photographier les plantes et les abeilles qui les visitent avec la même fascination depuis plus de vingt ans…
Ce travail atypique mêlant inspiration asiatique et entomologie a été récompensé à de très nombreuses reprises et a donné lieu à des expositions et des publications un peu partout dans le monde. Exposition réalisée avec le soutien de Canson Infinity. www.artofbutterfly.com

ALAIN BENOIT À LA GUILLAUME, « Un baiser pour les abeilles de la terre ». Les abeilles mélipones de Cuba ont plusieurs particularités étonnantes : elles ont les yeux bleus, elles n’ont pas de dard et elles bâtissent des pyramides. Elles vivent en ruche et à l’état sauvage. Nous avons eu la chance de les observer dans leur habitat, grâce aux méliponiculteurs qui nous ont ouvert grand leur porte et leur cœur.
Cette exposition, « Un abrazo para las habejas de la tierra », que nous avons présentée à La Havane en 2018, leur est dédiée.

ALAIN BENOIT À LA GUILLAUME, « Balade pour un hexagone d’abeilles ». C’est à Viscomtat sur la terre que les abeilles de ma cité voltigent, papillonnant d’une corolle à l’autre à la recherche de leurs nectars. C’est ici qu’elles m’ont adopté dans leur vie d’insectes insoumis, libres d’aller et venir au gré du vent, des couleurs et des odeurs, sans carte de séjour et sans permis de travail à l’heure où la France s’emmure dans son alvéole hexagonale. C’est ainsi que «berger des abeilles», appareil photo d’une main, enfumoir de l’autre, j’essaye de les aiguillonner, mais au final ce sont elles qui au bal mènent la danse.